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Estimation d'un livre ou d'un manuscrit
Pensées détachées, Fragments sur les femmes
“ LES JOURNAUX, LES CHEMINS DE FER DU MENSONGE.” OU ENCORE “ SI ELLES SAVAIENT COMBIEN, PARFOIS, ON LES ÉVITE PARCE QU’ON LES AIME.”
VOILÀ LE GENRE DE PENSÉES QUI ANIMAIT JULES BARBEY D’AUREVILLY LORSQU’IL ÉCRIVIT CET OUVRAGE
PREMIÈRE ÉDITION
In-8 (188 x 120mm)
TIRAGE : un des exemplaires courants
RELIURE DE L’ÉPOQUE. Demi percaline vert kaki à coins, dos à la bradel, titre et auteur dorés sur pièce de maroquin rouge, couverture et dos conservés, non rogné
Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1882) dédie ce recueil de pensées à une certaine Emmy de Néméthy. On ne connait pas beaucoup de choses de cette femme, hormis qu’elle est née en 1855 et qu’elle est la fille de la comtesse Schärffenberg. Elle passe une grande partie de sa vie à Paris dont elle maîtrise évidemment la langue et entre dès 1874 dans le cénacle des écrivains parisiens. Elle fit paraître, en 1886, sous le peudonyme de Jean de Néthy une pièce de théâtre intitulée Autodafé.
G. Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, I, col. 308